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Showing posts from April, 2008
Cameroun : Hausse du prix des denrées alimentaires malgré les evenements du 28 F évrier 2008 la suppression des taxes d'importation DOUALA, 30 avril 2008 (IRIN) -  Près de deux mois après la décision du gouvernement de supprimer les taxes d'importation sur le riz, la farine et le poisson, en réponse aux émeutes déclenchées notamment par la hausse du prix des denrées alimentaires, les prix à la consommation n'ont pas changé et ont même augmenté dans certains cas. « Nous nous battons pour maintenir des prix bas tout en tenant compte des contraintes de l'économie de marché », a expliqué à IRIN Alphonse Ateba Ndoumou, porte-parole du ministère du Commerce. La taxe d'importation de cinq pour cent a été supprimée le 7 mars, après l'accord conclu entre le gouvernement et les grossistes. « Ils ont accepté de baisser les prix si nous supprimions les taxes », a affirmé M. Ateba Ndoumou. « Le problème actuellement, ce sont les revendeurs », a-t-il
L'AFFAIRE DES NEUFS DISPARUS DE BEPANDA Hugues Seumo, Camer.be 29/04/2008  L’affaire des neuf disparus de Bépanda hante toujours les familles des victimes. Les responsables du C9 n'ont aucune intention de rester indifférents face à l'injustice et les crimes crapuleux qui continuent à être perpétrés en toute impunité par les autorités Camerounaises. Le C9 sortira une fois de plus des casernes pour une autre action internationale. Camer.be en a profité pour rencontrer Monsieur Bethuel Kouatou, l’un des pères fondateurs du C9. Confidences... L’affaire des 9 disparus de Bepanda a été diffusée  récemment sur France 5. Comment avez vous apprécié ce chef d’œuvre ? Apres avoir visionné le documentaire réalisé par Osvalde LEWAT sur l’affaire des 9 disparus de  Bépanda et sur le commandement opérationnel dans sa globalité, je dois avouer que j’ai été surpris par la qualité des interventions mais surtout des recherches effectuées par la réalisatrice, preuve que lorsqu’il y
Cameroun & Vie C hère, le Gouvernement Navigue  à  Vue   Malgré les promesses faites par Paul Biya, président du Cameroun sur la baisse des prix des denrées de première nécessité, au lendemain des mouvements de revendications populaires, la vie demeure chère. Lire l’éclairage de Afrik.com. Afrik.com ,27/04/2008 Vie chère au Cameroun : « il n’y a pas eu de baisse des prix ! »     La promesse faite par le gouvernement reste lettre morte La hausse des prix est aujourd’hui une question qui préoccupe le monde entier. De plus en plus, les tensions augmentent dans les pays pauvres du globe, dont ceux d’Afrique, où plusieurs émeutes ont éclaté ces derniers mois. Afrik.com publie cette semaine une série d’articles dans lesquels les Africains témoignent des difficultés du quotidien et de leurs attentes. Après les turbulences sociales du mois de février, une ordonnance du président de la République Paul Biya annonçait la baisse des prix des denrées alimentaires de première nécessité p
Le Sdf Décrète une Journée de Deuil National Donat SUFFO,Le Messager 17-04-2008.   “ J’en appelle à l’observation d’une journée de deuil national en mémoire de nos enfants assassinés récemment et pour la mort de la démocratie dans notre pays. Restez chez vous, mettez vos vêtements de deuil lundi 21 avril 2008 ; exceptés ceux qui assurent les urgences dans les hôpitaux, centres de santé et pharmacies ”.     C’est la quintessence d’un communiqué de presse de John Fru Ndi, rendu public le 12 avril 2008 et parvenu à notre rédaction le 14 avril. Le leader du principal parti de l’opposition réagit ainsi contre la modification aux forceps le 10 avril de la Constitution par les 157 députés du Rdpc et de l’Undp. Cette adoption s’est faite sans le Sdf. Ses parlementaires ayant claqué la porte de l’hémicycle de Ngoa Ekelle. Ni John Fru Ndi invite par ailleurs “ les Camerounais à rester en alerte, vigilants et prêts à se lever comme un seul homme contre les manœuvres de M. Biya et ses fla
Émeutes de février 2008: Paul Eric Kingue répond à l’honorable Jean-Michel Nintcheu Par Paul Eric Kingue A la suite de la parution de l’article intitulé « émeute de février 2008: le gouvernement veut rouler les victimes » en page 03 du quotidien Emergence, n° 476 du mardi 07 avril 2015, Paul Eric Kingue depuis la prison de New-Bell a adressé un droit de réponse en vue d’apporter certains éclaircissement. Je vous remercie de me donner l’opportunité de remettre les pendules à leurs places, après la sortie légère et inintelligible de l’Honorable Nitcheu dans votre journal du 07 avril 2015. Effectivement, cette sortie ne m’a pas laissé indifférent. De ma cellule, j’essaye au quotidien de m’informer par le biais tantôt d’un poste radio, tantôt de la télévision, et quelque fois, des journaux camerounais dont j’apprécie positivement la contribution à l’émergence d’une véritable société démocratique dans notre pays. Pour revenir à votre question, en parcourant votre parution du 07
Douala / Des Hommes Politiques Sous Haute Surveillance Patient Ebwele, le Jour 15/04/2008.   Le député Nintcheu s'en remet au président de l'Assemblée nationale. Le député du Sdf de la circonscription électorale de Wouri Est, Jean Michel Nintcheu a été reçu hier en mi-journée par le président de l'Assemblée nationale. Jean Michel Nintcheu est allé faire part à Cavayé Yéguié Djibril, des ennuis auxquels il est confronté ces derniers temps, afin que ce dernier plaide en sa faveur ; notamment en ce qui concerne son passeport qui lui a été retiré par la police au cours de la nuit du 2 mars à l'aéroport international de Douala, alors qu'il s'apprêtait à embarquer pour la France. Le député a également évoqué l'accident de voiture dont il a été victime le 5 avril dernier sur l'axe lourd reliant Douala à Yaoundé : "c'est un accident de travail puisque nous étions en pleine session parlementaire", estime Jean Michel Nintcheu. Selon lu
Le Cameroun vient-il d' ê tre pr é cipit é  dans les t é n è bres? SHANDA TONME, le messager 02/04/2008.  Rien n’aura donc été en mesure d’arrêter le désir infernal du pouvoir déjà fortement contesté et impopulaire de Yaoundé, de réaliser son rêve fou de rédiger une Constitution qui lui ouvre les portes de l’éternité. Ni les conseils de l’ancienne puissance coloniale, ni les recommandations du président des Etats Unis qui a envoyé tout un vice-ministre des Affaires étrangères à Yaoundé, ni les démarches de quelques relations d’affaires, ni la quarantaine de morts (selon les sources officielles) des émeutes quelques semaines plus tôt, ni les indicateurs d’opinion largement défavorables, n’ont pu faire changer d’avis à un Président convaincu que rien ni personne sur la planète n’est plus avisé et plus intelligent que lui . La question n’est même plus aujourd’hui de savoir d’où le Président tire ses leçons d’histoire, ni de qui il croit détenir un pouvoir infaillible de commander
Lettre ouverte à ma ‘‘tribu’’   Par le Cbt. MbouaMassok Du préambule        Mon cher Pays, encore appelé par la force des choses Came-roun (c’est-à-dire crevette ou crabe), ne compte en réalité, que deux (02) tribus. Chacune d’elles constitue un ‘’peuple’’, une classe sociale toute distincte. Certes, ces deux ‘’tribus’’ restent cohéritières du même patrimoine qu’est ce ‘’Jardin que nos aïeuls ont cultivé’’ et qui regorge de nombreuses richesses et de fruits abondants de toute nature et de très bon goût. Mais, il reste indéniable que les intérêts des deux ‘’tribus’’ devien-nent  chaque jour davantage antagonistes, ce qui est source de conflits et de tension constante. De la lutte de classe Au terme d’une observation pointilleuse et d’une analyse rigoureuse des problèmes et questions qui rendent de plus en plus difficile la cohabitation harmonieuse des ‘’tribus’’  ici considérées, je suis arrivé à la lucide conclusion que les raisons et les conditions d’une lutte de classes s