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Confessions et témoignage sur la gréve de Février 2008 Un ancien membre de la police explique comment ils exécutaient les citoyens camerounais sous l'ordre du gouvernement camerounais.
VIDEO DES  ÉMEUTES
Cameroun: le mouvement de février 2008…qu’est ce que c’est ? Pourquoi le Mouvement de Février 2008? Pourquoi le mois de février et pourquoi l’année 2008 ? Telles sont les questions que plusieurs lecteurs ne cessent de nous poser. Chers lecteurs et lectrices, nous savons tous que le pouvoir trentenaire en place au Cameroun avait assassiné des jeunes en février 2008 au Cameroun. Des jeunes qui ne réclamaient que le bien être. Ces jeunes ont été tué pour avoir eu le courage de descendre dans la rue et de réclamer leurs droits les plus élémentaires… Pour commémorer ces martyrs, nous avons décidé aux lendemains de ces émeutes de créer le Mouvement de Février 2008 pour honorer leur mémoire ainsi que celle des personnes victimes. Il y a eu des centaines de morts, des commerçants qui ont vu leurs marchandises volées, des maisons qui ont été détruites, des biens divers saccagés…sans oublier des prisonniers de ces émeutes encore en détention pour certai
Emeutes de février 2008 au Cameroun, bien comprendre ce qui s’est passé Tout avait commencé par des menaces et préavis de grève des transporteurs interurbains, après une énième augmentation du prix du carburant à la pompe, une manifestation politique du Sdf interdite le week-end avant le début effectif de la grève. Des villes qui s’embrasent à partir de Douala, des forces de sécurité rapidement débordées parce que manifestement surprises, Yaoundé qui à son tour gagne la turbulence, le sanguinaire paul Biya qui fait une sortie courroucée où il traitera des inconnus d’apprentis sorciers où il accusera le Code par l’un de ses agents d’être à l’origine de ces émeutesLa semaine du 25 au 29 février de l’année 2008 fut tout sauf ordinaire au Cameroun, tellement la violence et la rupture des comportements des citoyens contrastèrent avec la traditionnelle apathie des Camerounais. C’était la dernière salve dans cette semaine où le Cameroun avait emprunté, toutes proportions gardées cep
Bonne année 2016- février 2008 au Cameroun: le fil d’une histoire, la mémoire de notre devoir HUIT ANNÉES DE LARMES ET D’INJUSTICE NATIONALE…Il y a donc 8 ans, 8 longues années que débutaient les massacres de février 2008 au Cameroun. Sans aucun signe annonciateur, le Cameroun s’est transformé, du jour au lendemain, en un sordide abattoir humain. Des escadrons de la mort surgissant des fourrés et se mettant à tirer à-bout-portant sur des manifestants qui réclamaient justice sociale et espoir de vie, tuant du même coup enfants, jeunes et combattants de la liberté. BARBARIE HUMAINE ET VIOLENCE GRATUITE Certains victimes, à l’exemple du jeune MBENG Junior, agonisent et meurent dans des conditions particulièrement atroces. Les scènes de crime livrent des spectacles insoutenables jamais connu au Cameroun depuis le 13 septembre 1958 à Boumnyebel et la décennie 1965-1975 à l’ouest du pays. Des jeunes élèves traqués comme du gibier sont obligés de plonger dans le fleuve Wouri et me
Cameroun, emeutes de février 2008: violation des droits de l’homme, detention arbitraire et torture La liberté de l’Homme étant un principe judiciaire et la détention l’exception, il est regrettable de constater que les nommés DONFACK YANICK ROMAIN, FOMETE KENFACK WILLIAM STEPHANE, TSAFACK ERIC, NOUMBO BERTRAND et TSAFACK JEAN PIERRE, ont été arrêtées et placées sous mandat de dépôt après les émeutes de la faim survenue en Février 2008 au Cameroun ayant provoquée l’arrestation et l’incarcérations massives des jeunes Camerounais descendues dans la rue pour manifester leurs mécontentements. Depuis 2008, les susnommés sont toujours détenus à la prison centrale de Bafoussam et depuis Avril 2015 transférés à la prison principale de DSCHANG dans le Département de la MENOUA Ouest Cameroun, pour un fameux motif de destruction des biens privé en coaction. Cette même année, le Chef de l’Etat, son Excellence PAUL BIYA avait accordé une mesure présidentielle à tous les grévistes. Seules